mercredi 27 mai 2009

Le télémarketing, c'est l'fun... vraiment?

Depuis lundi que je sais qu'aujourd'hui, je dois passer beaucoup de temps à faire des appels chez plusieurs clients potentiels pour proposer nos services-conseils (petite plogue: Les Services informatiques Poulin et associés inc., sonia.sanfacon@srviftpoulin.ca. Pas encore de site web, mais ça ne saurait tarder. Cordonnier mal chaussé, je sais, je sais...)

Dans ma planification de la semaine, c'est aujourd'hui qu'il y avait du temps pour ça, et je n'avais aucune raison de procrastiner. Donc, ça fait un petit bout que je fais des appels, et que je fais des appels, et que je fais des appels.

Vous vous en doutez, je n'aime pas beaucoup cette tâche. Y a-t-il quelqu'un qui aime faire ça? Mais quand on s'y met, c'est finalement moins pire que ce qu'on appréhendait. Je parle à des gens plutôt sympathiques, quand j'arrive à parler à des gens. C'est ça qui détermine si j'aime ce travail ou non: parler à des gens plutôt froids et distants m'aurait découragé rapidement. Mais non, ils ne semblent pas dérangés par mon appel et sont assez ouverts à me parler. C'est un bon point pour me donner suffisament envie de continuer. C'est que j'ai une longue liste à passer au travers! Je vais me taper encore plusieurs journées comme ça.

(Youppi.)

Je ne maîtrise pas la technique à 100%, mais quand même, j'ai quelques trucs pour optimiser le processus. Sourire en parlant, obtenir la permission d'envoyer ma documentation et de rappeler pour un suivi, poser des questions pour démontrer une bonne écoute des besoins, etc.

Est-ce qu'il y a des choses que je devrais savoir? Est-ce qu'il existe un truc que je ne dois absolument pas omettre?

lundi 25 mai 2009

Maîtriser les techniques de rédaction: ce n'est pas donné à tout le monde...

J'ai lu ce billet très intéressant au sujet des titres de blogue: http://ow.ly/8U4m

Et ça m'a fait penser de partager ceci avec vous: ma fille de 7 ans écrit a commencé à écrire une collection de petits livres. Comprenez moi bien: On ne pense pas encore à la faire publier. Ça fait dur son affaire!

Mais ceci étant dit, je suis très fière d'elle. Je trouve que c'est une excellente idée qu'elle a eue de faire ça. Elle invente l'histoire, écrit les textes, et illustre même à chaque page. Ce sont de courtes histoires, environ 4-5 pages chacune. C'est la collection "Lili": Lili prend son bain, Lili joue dehors, Lili apprend des choses, etc. Ça fait dur, mais c'est normal, elle est en 1ère année, on ne s'attend pas à mieux. Sauf quelques fois où je pense qu'il y a nettement place à l'amélioration.

Par exemple, le 9e tome. Je vous le reproduis ici. Je pense qu'elle a vraiment manqué de motivation pour celui-là, je vous laisse en juger. Il a un total de 3 pages, incluant la page titre: Lili se chicane avec ses pires ennemis.

Page titre: Lili se chicane avec ses pires ennemis.

Page 2: Lili se promène dans la rue de l'école.

Page 3: Lili rencontre ses pires ennemis et la chicane commence.

Fin de l'histoire.

...

J'sais pas trop quoi dire. Espérons qu'il y aura une suite?

En tout cas, elle aurait intérêt à lire le billet au sujet des titres. Elle apprendrait à ne pas dévoiler le punch dans son titre.

jeudi 21 mai 2009

Je suis vraiment impressionnée...

Par ceci: http://www.webdesignerdepot.com/2009/05/30-artistic-and-creative-resumes/

Wow!

Vu ici: http://twitter.com/jonathanboyer

Pourquoi embaucher un consultant en TI?

Il y a un mythe qui a la vie dure: un consultant, ça coûte ben trop cher!!

FAUX! (Non, non, j'suis pas fâchée, mais c'est sorti spontanément, que voulez-vous...)

Je le démontre:

À titre d'exemple: Le gars (ou la fille, voyons donc!) sort de l'université, il se fait embaucher dans une entreprise à un salaire de 40 000.00$ par année, soit environ 20$/l'heure. En fait, il faut ajouter tous les avantages imposables, congés de maladie, vacances, etc.... Entre 25-30% de plus, c'est ce que tout ça coûte environ. L'entreprise offre une assurance collective à ses employés? On ajoute au bas mot 5%. L'entreprise offre un fonds de pension? Encore un surplus important.

Bon. Maintenant, il faut le former, notre junior. Il comprend bien l'informatique, il aime ça, il en mange, et il a vu pas mal de choses à l'université. Il a fait le tour des technologies actuelles. Mais il n'est pas expert. Il n'est pas capable de réaliser toutes nos demandes. On va donc probablement le jumeler à notre expert, qui lui nous coûte pas mal cher. On va peut-être l'envoyer suivre la formation sur notre technologie.

De temps en temps, on va l'inviter à des activités de bureau pour renforcir l'esprit d'équipe. On va lui fournir un espace de travail ergonomique pour ne pas qu'il développe de maladie en ite, et comme il arrive qu'on prenne du retard, entre deux projets, on va lui dire de continuer à développer ses compétences avec d'autes tâches qui ne sont pas vraiment nécessaires-mais-il-faut-bien-le-garder-occupé.

Si on a bien effectué tout le processus de recrutement, qui nous a lui aussi coûté pas mal cher, dans quelques années, on va trouver que notre candidat est vraiment bon et qu'il nous rend d'excellents services. On va être content de lui. Mais il va probablement aller travailler ailleurs.

Et on va recommencer le processus.

Si on embauche un consultant, ça va plutôt ressembler à ceci:

Son taux horaire sera la seule chose que vous aurez à débourser. Toujours à titre d'exemple: Il vous coûte 75$/l'heure? Il vous coûte 75$/l'heure. Pas un sous de plus. Calculez la durée du projet et multipliez par le taux horaire, vous obtenez le coût total du salaire associé à votre projet. C'est tout. Et profitez maintenant de tout ceci:

Il est expert dans son créneau, vous l'embauchez car il connaît votre technologie, il en est le spécialiste. Il entre un matin chez-vous, et il est fonctionnel, là, tout de suite. Il a son portable, n'est-ce pas fantastique? Votre projet dure 6 mois? Votre prochain projet ne débutera que dans 3 mois? Gardez le consultant pour 6 mois, et reprenez-le dans 3 mois. Il s'occupe lui-même de maintenir ses compétences à jour, il va en formation continue, etc. Vous ne vous occupez pas de ses vacances, ses assurances, vous n'avez aucune charge gouvernementale associée à son embauche.

Voilà! Je crois donc qu'il faut envisager sérieusement cette option lorsqu'on a un département d'informatique dans notre entreprise. Les consultants constituent une excellente réponse à nos problèmes!

mercredi 20 mai 2009

La fois où j'aurais voulu disparaître...

Ce midi, au restaurant, la serveuse a reconnu une cliente qu'elle n'avait pas vu depuis un bon bout de temps, à ce que j'ai pu comprendre. La cliente était une dame d'environ 50-60 ans (je ne suis pas très bonne pour deviner l'âge des gens, mais bon, vous voyez le genre.).

La serveuse à dit ceci à la cliente:

"Allô! J'suis contente de te voir! Mais t'as donc ben vieilli!!"

...


Le malaise, mes amis, le malaise. Les balbutiements incompréhensifs qui sortaient de là, tous plus insipides et inutiles les uns que les autres. Ils ne servaient qu'à se caler encore plus, si ça s'peut. Les explications: "Ben non, c'pas ça, mais t'a changé, mais t'es super belle, wow, t'as l'air en forme..." De toute beauté!

Ça m'a rappelé une fois où j'avais fait une ÉNORME gaffe dans le genre... Je travaillais dans une épicerie et il y avait une cliente qui venait souvent et qui passait toujours à ma caisse. Avec les années, elle était devenue une espèce de cliente préférée, j'aimais la rencontrer au magasin et placoter quelques minutes avec elle de tout et de rien. Et, détail ayant son importance, elle était pas mal bien enveloppée, vous voyez?

Un moment donné, elle était enceinte. Ben oui, ça arrive ces choses-là.

Un moment donnée, je la rencontre au magasin en plein été, alors qu'il faisait très chaud, une canicule d'enfer que les femmes enceintes en fin de grossesse ne peuvent plus endurer. Comme je suis très gentille et que je sympathisais avec elle, je lui dis, pleine d'empathie: "tu dois avoir hâte d'accoucher, avec cette chaleur".

Ben oui, vous me voyez venir depuis tantôt. C'est en plein ça. Elle m'a répondu: "Oh, mais j'ai accouché depuis 3 semaines!".

"Oh, euh.." Rétorquai-je. Mais une petite voix sage me disait de ne rien ajouter, tout était dit.

mardi 19 mai 2009

Pourquoi mon weekend de 3 jours n'en a eu que 2

J'ai envie de vous raconter toutes mes petites aventures du weekend, histoire de demeurer dans le ton très léger qui est affiché dans ce blogue depuis ses débuts.

Vendredi soir, le souper avec ma meilleure amie a bel et bien eu lieu, ce qui fait que je ne suis pas allée chez la coiffeuse comme c'était prévu initialement. Mais en suis-je vraiment déçue, me demanderez-vous? PAS DU TOUT! Mon rendez-vous est remis à demain, voilà tout. Et j'ai eu un très bon moment avec Véro. Très bon. Potins, sushi, vin. Que demander de plus? Rien.

Samedi, pleins de petits instants très agréables. Notamment, un déjeuner au resto avec mon chum, à ne pas se parler mais à plutôt regarder le journal. Je sais que plusieurs doivent se dire, quand ils nous voient: "tu parles d'un couple plate, ils ne se parlent pas, ils regardent le journal et font leurs mots-croisés et leur sudoku...". Mais ça ne me dérange pas: manger au restaurant avec mon chum tout en lisant le journal et en faisant les mots croisés, j'adore! Il s'agit d'un instant de calme et de douceur ensemble. On n'est pas obligés de parler tout le temps et d'être crampés de rire tout le temps. Et des fous-rires ensemble, on en a souvent, et des discussions aussi. Et si on a envie de parler au restaurant, on le fait, on n'a pas établi de règles contraires. Mais si on n'a rien à se dire, on se tait. Je n'ai aucune difficulté avec ça, au contraire.

Samedi soir: on a décidé d'aller manger du homard à Rivière-du-Loup. Pas qu'il n'y en n'a pas du bon à Québec, mais on avait envie de s'éloigner pour être certains de ne pas rester à la maison à travailler et à remplir de quelconques obligations-pas-vraiment-obligées. Donc, un petit aller-retour, au cours duquel on a justement eu un fou-rire assez intense! Je ne sais pas si vous connaissez la chanson "la perruche à morpions". Je ne la connaissais pas mais je l'ai entendue à la radio sur le chemin du retour. Chanson ultra-vulgaire, pas de classe pantoute, mais on l'a quand même écoutée jusqu'au bout, et Dieu qu'on a rit! Une espèce de chanson à répondre, sans aucune censure, et je ne faisais qu'imaginer les p'tits vieux, à Soirée Canadienne, en train de frapper dans les mains allègrement et répéter chaque répliques dans la joie la plus totale! Je pense que les perruques auraient défrisé. Je ne sais pas si on peut la trouver sur le web, mais je ne la cherche pas et je ne vous mets pas le lien. Trop hot pour ça. Mais dans l'intimité de mon auto avec mon chum, le potentiel hilarant est très présent.

Dimanche, le clou de notre journée: on a donné du sang chez Globule. Première fois pour Sylvain, seconde pour moi. Super! On était fiers de nous.

Lundi: je décide d'aller voir mes courriels au cas où il y aurait des petites urgences à répondre, car je savais que j'avais un dossier important en cours. Urgence, vous dites? J'ai dû passer près de 6 heures au bureau pour compléter un tableau de 80 pages, pour présenter une candidature! C'est en bougonnant tout l'après-midi que j'ai fini par compléter le travail. J'ai eu l'aide du candidat qu'on présente, et celle de mon chum qui voyait à ce que je ne manque pas de poutine et autre bouteille d'eau durant ma prestation de travail. On devait aller souper chez ma mère, mais j'ai dû annuler en a profité à ma place, le chanceux.

J'échangerai ça contre un après-midi ensoleillé à profiter de la vie. Pas plus compliqué que ça.

vendredi 15 mai 2009

Un vendredi dingue, dingue, dingue!

Cette journée est exactement à l'image de celles qui me stimulent le plus. Chargée à souhait! C'est comme ça que je suis à mon meilleur et que je performe le plus.

Cas #1: Ce matin en entrant au bureau, à 8h00: j'avais un courriel d'un partenaire envoyé à 22h40 hier soir, alors que je dormais profondément, et donc n'étais pas en train d'attendre des demandes urgentes à livrer, me demandant de fournir pour VENDREDI MATIN un tableau avec plein de critères d'expérience démontrés de telle, telle, telle, telle et telle manière. Eille! C't'à matin, ça!!! Vite, rejoignons le candidat et demandons-lui de l'aide, comme ça, tout de suite, vu qu'il n'avait probablement rien à faire et qu'il attendait justement que quelqu'un lui demande ça! OK, il accepte, on va se partager le boulot et tenter de fournir l'info à temps, pour ne pas rater l'occasion.

Cas #2: Quelques minutes plus tard: Un partenaire à qui je devais fournir des documents au plus tard dimanche soir m'appelle pour me demander de lui fournir le tout AUJOURD'HUI, sinon il ne sera pas capable de travailler sur sa partie à temps, et ne pourra donc pas présenter la soumission. OK, on refait le plan de match pour arriver sans y mettre trop d'heures en fin de semaine!

Cas #3: Un peu plus tard: j'ai la possibilité de me joindre ce midi à mon patron et amoureux pour un dîner d'affaire avec un partenaire éventuel avec qui j'aimerais beaucoup travailler. Ma première réaction: OK! J'y serai! Ma seconde réaction: Euh... retour au cas #1: Trop de risque que je sois encore là-dessus. Retour au cas #2: trop de risque de ne pas être en mesure de livrer la marchandise. Et voir cas #4 (un genre de Retour vers le Futur, pas pire, hein?) : Trop de risque de ne pas pouvoir y être. Je ne peux pas accepter, en fin de compte. Merde.

Cas #4: Mon amie Véro m'écrit qu'elle voudrait bien qu'on se voit ce soir pour prendre un verre, elle est dans un espèce de néant et a envie de partager tout ça. (En fait, elle a dit qu'on devrait se saoûler la gueule, mais je trouve que ça fait moins joli sur mon blogue.). Bon. J'ai un r-v ce soir pour faire refaire mes mèches. Mais ne vous inquiétez-pas: Je lui ai dit que tant pis pour les mèches! (En fait, je lui ai répondu: Fuck les mèches! Mais ça non plus, c'est pas très beau.) Ma repousse va continuer de faire sa job de repousse encore un petit moment, il y a des priorités à respecter. Bof, à travers les pissenlits et autres mauvaises herbes qui nous envahissent ces jours-ci, je vais me fondre au paysage et peut-être que ça ne paraîtra pas trop.

Cas #5: Ben en fait, il n'y a pas de 5e cas pour le moment. Je voulais juste vous dire que j'avais besoin de ces petites minutes de répit pour écrire ce billet, et que je me remets à la tâche à l'instant. Je vais probablement me caller du poulet pour dîner à mon bureau et continuer à travailler tout en mangeant. Je vais faire attention de ne pas trop "beurrer" mon clavier, vous en faites-pas.

mercredi 13 mai 2009

Un peu de publicité!

J'ai d'excellents candidats qui sont disponibles:

. Analyste et chargé de projet, certifié PMI et Oracle, 7 ans d'expérience
. DBA Oracle, spécialiste UNIX et Solaris, 25 ans d'expérience
. Plusieurs chargés de projet senior
. Architecte organique .NET 10 ans d'expérience
. DBA SQL Server 10 ans d'expérience
. Analyste fonctionnel .NET, Java, Mainframe, 14 ans d'expérience
. Plusieurs programmeurs Biztalk
. Plusieurs développeurs PL/SQL

etc....

sonia.sanfacon@srviftpoulin.ca
418-977-8892

Il y a de la flatterie dans l'air... et j'aime ça!

Il y a des jours comme ça. Aujourd'hui, les occasions se multiplient de dire à mes partenaires d'affaire à quel point je les apprécie, quelles sont les forces qu'ils ont et que j'admire, en quoi est-ce que leur collaboration m'est précieuse, quels aspects de notre partenariat me stimulent.

À chaque fois que je profite d'une telle occasion et que je prends le temps d'exprimer ma reconnaissance, j'ai tellement l'impression d'avoir posé une action concrète pour solidifier des bonnes relations, et j'en ressens immédiatement les bienfaits, par la réponse que de tels commentaires suscitent, et un peu plus tard par la collaboration davantage soutenue avec ces partenaires.

Dans ma description de tâches (qui n'existe pas vraiment, soit dit en passant), on appelle ça "établir et entretenir des bonnes relations avec les partenaires actuels et futurs". Je crois que c'est ma partie préféré!

Oui, oui, je sais, je ne suis qu'une émotive qui "ramollit" à la moindre brèche de sentimentalité qui apparaît...

lundi 11 mai 2009

Des idées en vrac

. Écrit par ma plus jeune sur une de mes innombrables cartes de fête des Mères: "Je t'aime tellement que je ne peux plus aimer personne d'autre. Tu es gentille, tu es belle et tu sens bon. En fait, tu sens la rose." Bon, merci pour la précision.

. Ma journée de la fête des Mères: après avoir lu lesdites innombrables cartes, j'ai passé l'aspirateur, lavé le plancher, époussetté partout, fait l'épicerie, deux brassées de lavage, lavé la vaisselle, fait la bouffe de la semaine, aidé mes filles dans leurs mille et un projets, reçu une petite amie à la maison. Je me sentais très "Mère", en effet.

. Je fais plein de gaffes aujourd'hui. Est-ce que les chirurgiens cardiaques ont des journées, comme ça, où ils font plein de gaffes? Je me demande ça, comme ça.

. Avec mes filles, on a fait une virée chez Ikea samedi dernier. Je leur enseigne déjà les grandes choses de la vie, et ma foi, elles apprennent vite et bien!

. Donc, au programme samedi soir? Assemblage de meubles! Après quelques vis toutes croches et des barreaux à l'envers, un appel à mon chum s'imposait. Il est venu régler le tout. Merci mon bel homme!

vendredi 8 mai 2009

Les clients sont exigeants!!!

Je me mets à leur place et je les comprends. Je ferais la même chose. Mais je suis à MA place, et ça représente un défi de taille:

Après 4 mois en fonction au développement des affaires de l'entreprise, je constate que les demandes de services-conseils sont très, très, très, très, pointues. On cherche un spécialiste en ÇA, qui a beaucoup d'années d'expérience en ÇA AUSSI, qui a déjà implanté plusieurs fois CECI, et qui a, à titre d'expert-spécialiste-pro-meilleur- a développé CELA dans ce contexte précis.

Ouf! Je pense que je peux maintenant affirmer que ceci représente mon plus important défi. Tenter de trouver LA perle, et même si la perle n'a pas 100% à l'examen des exigences, si elle a, disons, 92%, tenter de démontrer, après avoir bien écouté et compris les besoins du client, que cette perle sera bel et bien une perle!

Établir des contacts avec des clients, maintenir des bonnes relations avec les clients existants et les partenaires, entretenir mon réseau de contacts, gérer le personnel, analyser les résultats et orienter les décisions, etc, je me sens bien dans tous ces aspects de ma tâche. Il y a des difficultés, mais j'aime avoir à y faire face.

Mais la partie des exigences très spécifiques, c'est un peu moins naturel à gérer pour moi. Je disais dernièrement que je parle Techno, mais au fond je ne connais pas encore assez bien cette langue pour être parfaitement à l'aise avec ces exigences spécifiques. C'est pour ça que le défi est vraiment grand. Mais c'est normal, et la situation évolue rapidement.

Quand je m'arrête comme ça et que je fais le point, je réalise que je suis vraiment en train de prendre mon pied professionnel!

jeudi 7 mai 2009

Mon père, ce cher coco rasé!!

Mon père a décidé de participer encore une fois cette année au défi Têtes Rasées de Leucan, qui aura lieu le 7 juin prochain.

Go! Papa! On t'encourage!! Merci mille fois!!

http://defileucan.ca/Participant.aspx?id=12067

Le bonheur!!

On parle du bonheur ce matin dans les journaux: http://www.cyberpresse.ca/vivre/societe-et-sexualite/200905/07/01-854096-on-est-heureux.php.

Ce sujet m'interpelle. Comme la plupart des gens, mes expériences m'ont appris beaucoup sur le bonheur. Mais j'ai vécu une chose que la majorité des gens n'ont pas vécues, et cette expérience m'a appris beaucoup au sujet du bonheur: Lorsqu'elle avait 17 mois, ma fille a reçu un diagnostic de cancer, un neuroblastome, une forme de cancer plutôt rare. Et grave. Chimiothérapie, chirugies, radiothérapie, rechute, etc. Elle est maintenant en rémission depuis 4 ans.

En passant, je profite de l'occasion pour vous inciter à participer à ça: http://www.defileucan.ca/Participant.aspx?id=11327. Notre famille a bénéficié de tout ce que Leucan fait pour les enfants atteints de cancer.

Bon, revenons au bonheur. Quand on a un problème, quand on apprend une mauvaise nouvelle, quand il nous arrive une tuile, j'ai appris que si nous avons une possibilité de prendre action, de se lever le derrière de sur notre chaise et de poser des gestes pour essayer de régler le problème, ce n'est donc plus un vrai problème. Je perds mon emploi? J'ai la possibilité de faire mon CV, consulter Internet pour me cherche un emploi, vendre ma moto, etc... pour régler le problème. Ma fille a le cancer? Je ne peux rien faire pour guérir son cancer mais j'ai un immense pouvoir sur la façon dont on va tous vivre cette expérience. Je peux TOUJOURS me retrousser les manches et agir, poser des actions pour améliorer une situation. Je trouve que c'est rassurant de savoir que ce n'est personne d'autre que moi qui peut influencer mon bonheur. Wow!

Et on n'a pas le choix d'admettre qu'ici, on est choyés, les moyens sont tellement accessibles! Les sources de plaisir sont illimitées, faciles à trouver!

Je ne dis pas que ce sera toujours facile de trouver une solution et de régler un problème, mais je dis que ce sera toujours possible de le faire. Oui, au prix de certains efforts et sacrifices, c'est certain.

Alors, profitons de cet immense pouvoir que nous avons et continuons d'être heureux!

samedi 2 mai 2009

To do list

. Poulet Général Tao: Tchek!

. Dodo tard: Tchek!

. Cinéma: à faire

. Marche au soleil: Tchek!

. Collée contre mon chum: Tchek! Tchek! (Hi! Hi!)

. Travailler pour prendre de l'avance pour lundi: Tchek! (Hein! C'tait pas supposé, ça?)

. Souper chez-belle maman: à faire (Ça non plus ce n'était pas prévu, mais ne vous en faites pas, ce sera très agréable. Beaucoup de plaisir en vue. Oui, oui, vous étiez inquiets, mais là je vous ai rassurés. Ça va aller. Ne me remerciez pas.)

vendredi 1 mai 2009

Belles perspectives en vue

Bon. Le weekend est là, tout près, qui m'agace avec ses possibilités de repas au restaurant (Poulet Général Tao pour ce soir, Miam!!), de dodos tard le matin (ouiiiii, quel bonheur!!), de rayons de soleil (enwouèyyez, pitchez-vous dans ma face, j'veux pus être blême!!), de soirée cinéma-maison (hmmm, qu'est-ce qu'on pourrait bien regarder, cette fois?), de très bon temps collée contre mon chum (Non, pas de commentaires, ici...)...

Mais vous savez quoi? J'ai eu une super semaine, il y a plein d'opportunités intéressantes et j'aurais presqu'envie de repousser un peu le weekend pour pouvoir m'occuper de ces opportunités... Mais ça, c'est du zèle. Je vais donc, à partir de maintenant, tranquillement pas vite, commencer à décrocher, à penser aux bons moments qui m'attendent, et lâcher en douceur tout ce qui se rapporte au boulot.

...

Finalement, c'est pas difficile pantoute!