vendredi 15 mai 2009

Un vendredi dingue, dingue, dingue!

Cette journée est exactement à l'image de celles qui me stimulent le plus. Chargée à souhait! C'est comme ça que je suis à mon meilleur et que je performe le plus.

Cas #1: Ce matin en entrant au bureau, à 8h00: j'avais un courriel d'un partenaire envoyé à 22h40 hier soir, alors que je dormais profondément, et donc n'étais pas en train d'attendre des demandes urgentes à livrer, me demandant de fournir pour VENDREDI MATIN un tableau avec plein de critères d'expérience démontrés de telle, telle, telle, telle et telle manière. Eille! C't'à matin, ça!!! Vite, rejoignons le candidat et demandons-lui de l'aide, comme ça, tout de suite, vu qu'il n'avait probablement rien à faire et qu'il attendait justement que quelqu'un lui demande ça! OK, il accepte, on va se partager le boulot et tenter de fournir l'info à temps, pour ne pas rater l'occasion.

Cas #2: Quelques minutes plus tard: Un partenaire à qui je devais fournir des documents au plus tard dimanche soir m'appelle pour me demander de lui fournir le tout AUJOURD'HUI, sinon il ne sera pas capable de travailler sur sa partie à temps, et ne pourra donc pas présenter la soumission. OK, on refait le plan de match pour arriver sans y mettre trop d'heures en fin de semaine!

Cas #3: Un peu plus tard: j'ai la possibilité de me joindre ce midi à mon patron et amoureux pour un dîner d'affaire avec un partenaire éventuel avec qui j'aimerais beaucoup travailler. Ma première réaction: OK! J'y serai! Ma seconde réaction: Euh... retour au cas #1: Trop de risque que je sois encore là-dessus. Retour au cas #2: trop de risque de ne pas être en mesure de livrer la marchandise. Et voir cas #4 (un genre de Retour vers le Futur, pas pire, hein?) : Trop de risque de ne pas pouvoir y être. Je ne peux pas accepter, en fin de compte. Merde.

Cas #4: Mon amie Véro m'écrit qu'elle voudrait bien qu'on se voit ce soir pour prendre un verre, elle est dans un espèce de néant et a envie de partager tout ça. (En fait, elle a dit qu'on devrait se saoûler la gueule, mais je trouve que ça fait moins joli sur mon blogue.). Bon. J'ai un r-v ce soir pour faire refaire mes mèches. Mais ne vous inquiétez-pas: Je lui ai dit que tant pis pour les mèches! (En fait, je lui ai répondu: Fuck les mèches! Mais ça non plus, c'est pas très beau.) Ma repousse va continuer de faire sa job de repousse encore un petit moment, il y a des priorités à respecter. Bof, à travers les pissenlits et autres mauvaises herbes qui nous envahissent ces jours-ci, je vais me fondre au paysage et peut-être que ça ne paraîtra pas trop.

Cas #5: Ben en fait, il n'y a pas de 5e cas pour le moment. Je voulais juste vous dire que j'avais besoin de ces petites minutes de répit pour écrire ce billet, et que je me remets à la tâche à l'instant. Je vais probablement me caller du poulet pour dîner à mon bureau et continuer à travailler tout en mangeant. Je vais faire attention de ne pas trop "beurrer" mon clavier, vous en faites-pas.

4 commentaires:

  1. Sylvain Poulin16 mai 2009 à 13:00

    Té pas mal drôle, "Sonia qui blogue aussi". Si jamais tu venais qu'à perdre ton "job", tu pourrais certainement proposer tes services à Caroline Allard. Je trouve que tu as pas mal de potentiel...!!! Keep up the good work!

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  2. Merci Sylvain! C'est full gentil,ça! Sauf que... est-ce que je devrais m'inquiéter pour ma job??? ... ;-)

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  3. Ben NON...!!! Tu es ce qui est arrivé de mieux dans l'histoire de notre entreprise dans les douze dernières années (je crois que je radote là...). Bon Week-End...!!!

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  4. Wow! C'est vraiment agréable de lire ce commentaire! Merci!

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